Plein de bonheur pour 2013 :) [petit concours]

Oui il est encore un peu tôt pour vous envoyer mes voeux, mais je voulais vous proposer de les souhaiter cette année avec moi. Tout les ans, (bon sauf l’année derniere je l’avoue, j’avais autre chose à penser ^^ ) je dessine ma carte de voeux,  que je tire à un nombre d’exemplaires limités, et que j’envoi à ceux qui me sont chers. Cette année, comme je me suis décidée à ouvrir mes cartons et à partager mes créations avec vous, j’ai décidé de faire une carte un peu spéciale.

En fait, je vais cette année vous faire gagner cette carte de voeux 🙂

Pour ceux qui ne connaîtraient pas mon style, allez voir par <<ici>> ou sur la page facebook de mes créas <<ici>>. Je vous ai retrouvé aussi ma carte de voeux de 2006, pour vous donner un exemple 🙂

Ma carte de voeux de 2006

Comment ça marche?

Alors si vous voulez participer, il vous suffit de me laisser un petit commentaire à la suite de cet article, dans laquelle vous parler de la carte de voeux que vous m’imaginez dessiner. (je précise que je veux la dessiner dans mon style “calligraphique ” ^^ ) Vous pouvez me proposer une musique sur laquelle dessiner, un thème, une cause à défendre, bref, à vous de trouver l’idée qui fera (oiseau) mouche! [pardon pour ce jeu de mot ^^ ]

Ensuite, je pourrais lire toute vos idées, et je choisirai les trois qui me parleront le plus….Oui, pas de tirage au sort, j’ai vraiment envie de choisir des idées originales 🙂

On gagne quoi?

Alors le but, je ne vous le cache pas, c’est de faire un peu connaitre mon travail ^^ Donc les lots, au nombre de trois, seront plus important plus j’aurai de participants.

Lot numéro 1

Je choisi l’idée du gagnant, et je fait une carte sur le théme, la cause, ou la musique choisie. Le gagnant recevra le dessin original signé, ainsi qu’autant de cartes de voeux à l’image du dessin original que de participants à ce concours. Alors au cas où je ferai un bide, je vous en garantis 15 minimum 🙂 Donc le but est de partager au maximum ce concours afin d’avoir plus de cartes dans les lots 🙂

Lot numéro 2

Autant de cartes de voeux que le lot numéro 1, sauf évidement le dessin original 🙂 Pareil qu’au dessus, le nombre de cartes est donc lié au nombre de participants.

Lot numéro 3

Une carte  de voeux adressée au gagnant et signée 🙂

Voila 🙂 J’espère que ce petit concours vous plaira, et comme je suis généreuse (et que ce n’est pas très lourd) j’envois partout ou vous voulez. Oui oui oui. Donc si vous aimez mon travail, je compte sur vous pour faire tourner ce petit concours, et permettre à mon travail de se faire connaitre un peu….et d’avoir plus de lot 🙂

Ah, et le concours est ouvert dès maintenant, et fermera le 15 décembre, parce qu’il faut quand même que je trouve le temps de dessiner cette carte 😉

Merci de me suivre  🙂

 

 

 

[L’Iliade Revisitée] Chant I “Chante, Déesse, la colére d’Achille”

Attention les yeux, cette fois on est parti, aprés deux posts pour expliquer les fondements de l’histoire, maintenant on attaque dans le lourd, dans le sérieux, dans le VRAI texte d’Homère. Alors comme parfois certaines tirades valent leur pesant de cacahuètes  je vous mettrais certaines phrase originales au milieu de mes palabres. Elles seront en violet et en italique. Bon, et comme d’hab, si vous avez loupé des morceaux, c’est par <<ici>> pour combler ces manques.

Donc. Sortez la musique qui va bien (moi j’écris sur du bon vieux Deep purple ^^)  parce que va y avoir du conflit titanesque!

[l’Iliade revisitée] Chap II. “Héléne et les garcons”

Nous avions donc laissé notre brave Pâris complètement subjugué par la belle Aphrodite ( si vous avez loupé, c’était <<ici>> ) qui lui avait promis l’amour de la plus belle femme du monde. Et la plus belle femme du monde, c’est Hélène.

Hélène qui? Hélène de Sparte. Et cette madame n’est pas n’importe qui. En fait, son père c’est Zeus. Rien que ça! Il à charmé sa mère, Léda, en se transformant en cygne, ce qui n’est qu’une des multiples transformations de Zeus (par exemple, en nuage, en taureau, en pluie…..à chaque fois, c’est pas pour sauver le monde, non c’est pour charmer les femmes…. ^^ ). Donc Hélène est sortie d’un oeuf, et quand on à Zeus pour père est qu’on est donc a moitié divine, ben apparemment, on en jette sérieusement. Et son père, “officiel” il est roi de Sparte. Rien que ça aussi.

[illustration en musique] Timeless; Goldie

Voila une illustration sur un de mes morceaux favoris  tout styles confondus. J’ai découvert ce morceau j’étais encore une jeune insouciante en terminale, c’est dire si ça me rajeunit pas.

Alors le morceau est un peu (beaucoup ^^ ) long, et si vous avez le temps je vous conseille vraiment de l’écouter en entier parce qu’il a vraiment plusieurs “couleurs” qui ne se découvrent pas tout de suite.

Il vous reste à cliquer pour vous imprégner…

[Illustration sur musique] “Live with me” Massive Attack

Je viens de finir cette illustration sur un morceau qui m’avait été proposé par Julie sur la page facebook de mes illustrations. J’ai commencé par dessiner le personnage central, posé, simple, presque solitaire. C’était la première impression que m’a fait cette musique. Et puis progressivement, à force d’écouter en boucle cette musique (j’écoute toujours les morceaux en boucle quand je travaille de cette manière) un certain sentiment de malaise à commencé à m’envahir.

Il fait dire que je me force à ne pas me focaliser sur les paroles pour être “influencée” j’essaye de rester uniquement sur le ressenti que me procure le “son pur”. Mais quelque chose de nostalgique, puis de franchement déprimant à commencé à m’envahir. J’ai progressivement dessiné toutes ces lignes autour du personnage.

[Saturday Legend Fever] Le briquet (Andersen)

Aujourd’hui, je vais vous raconter un conte de mon enfance qui m’avait marqué. Attention, je préviens, comme la plupart des contes d’Andersen (que j’aime beaucoup) la morale est plutôt du genre “ceux qui sont démerdes s’en sortiront qu’importe les moyens utilisés” plutôt que “c’est les gentils qui gagnent à la fin. En l’occurrence, ici, le “héros” s’emmerde pas trop avec la morale ce qui ne l’empêche pas de ne pas s’en tirer trop mal. Mais trêve de blabla, c’est parti!

[L’iliade revisité/chap. I] Et tout ça pour une pomme…

Ahahah mes amis, voici venu le temps de démarrer une série qui va être looooongue mais alors un truc de fou. Oui parce qu’aujourd’hui, je m’attaque à l’Iliade. Carrément ouais. Parce qu’on a tous entendu au moins une fois parler un peu de ce vieil Homère mais qu’on est pas nombreux à l’avoir lu, j’ai décidé de vous narrer cette palpitante épopée qu’elle est belle et glorieuse cette histoire.

Alors va y avoir du sport c’est moi qui vous le dis. Ça va tuer dans tous les sens, ça va s’étriper, ça va se défier, mourir glorieusement ou pas,  se trahir dans tous les sens. Va y avoir de la confrontation, de la sueur et du muscle, mais aussi de l’amouuuuur de la romance, de l’émotion et tout un tas d’autres trucs qui prennent aux tripes.

Pour faire simple, on va taper dans l’épique version plus plus, alors accrochez vos ceintures, on est partis!

[Saturday Legend fever] La création du jour et de la nuit

Alors tout d’abord, je tiens à m’excuser platement, parce que j’adooooore cette légende, mais impossible de me souvenir de quel pays elle vient, ni de son vrai nom. Bon. Et en plus le bouquin dans lequel je l’ai lue à décidé de se planquer on ne sait ou. Bref. Vous allez donc avoir la légende, et puis si un jour je retrouve le peuple auquel elle appartient, je vous le rajouterai en note en dessous.

Musique d’ascenseur encensée

2086, salle de concert, quelque part en France. Le programme est alléchant, une interprétation du vieux répertoire d’un artiste ancien du nom de Richard Clayderman. Les musiciens s’avancent sur la scène, sérieux et dignes. L’assemblée applaudit délicatement pour ne pas troubler leur concentration.

Les interprètes s’assoient et prennent un air pénétré pour s’imprégner de l’essence même de l’oeuvre qu’ils vont jouer. Dans la salle, personne ne moufte. Religieusement, on attend le début du récital.

La musique commence, et chaque auditeur est empli d’une émotion certaine, tout en restant convenablement assis et pensif afin d’apprécier au mieux la virtuosité de l’exécution.

Le premier morceau s’achève [enfin, dans le souffle des eaux] et quelqu’un en profite pour toussoter. A droite, un fou fait mine d’applaudir, aussitôt refroidi par les regards noirs de ses voisins.

A la fin du récital, le public applaudit, (ni trop ni trop peu) et sort de la salle en bavardant allègrement sur la virtuosité technique, la parfaite exécution des oeuvres, la fidélité recherchée à l’artiste originale, et la soirée se finit.

J’aime pas Halloween. [légende inside]

Ce soir c’est Halloween. Faites péter les citrouilles, les sorcières avec leurs nez crochus et leurs chapeaux d’un mètre de haut, faites semblant d’avoir peur, mais surtout surtout: n’oubliez pas d’acheter, d’acheter, et encore acheter tout les parfaits accessoires d’une fête réussie, des fausses toiles d’araignées au sang en bouteille, des citrouilles en plastique aux paniers à bonbon à 15 euros.

Commercialement parlant, Halloween  c’est un peu le repos de la femme. C’est à dire que le reste de l’année, on vous colle une potiche pour vous vendre absolument n’importe quoi, de la montre à la voiture, en passant par les pots de confitures. Eh ben en ce moment, “la femme” de pub peut prendre un repos bien mérité, puisque Halloween la remplace dans le coeur des publicitaires.